J’ai été initiée à Charlotte Mason de la même manière que beaucoup d’entre vous qui ont commencé à faire l’école à la maison avant l’ère actuelle des blogs et des podcasts. Il y a dix ans, une bonne amie m’a donné un exemplaire de For the Children’s Sake*, et nous avons eu de nombreuses discussions à son sujet pendant l’année qui a précédé l’entrée en maternelle de nos filles. Elle a fini par prendre une autre direction pour l’éducation de ses enfants, et, bien que je faisais partie d’une communauté encourageante de parents instruisant leurs enfants à la maison, personne d’autre ne connaissait Charlotte Mason ou ne suivait sa philosophie et ses méthodes. J’ai donc dû me débrouiller toute seule.

En 2012, je me suis rendue à la conférence du CMI** en Caroline du Nord, où j’ai assisté à une petite réunion d’information au cours de laquelle Deani Van Pelt nous a expliqué comment accéder et utiliser la nouvelle Charlotte Mason Digital Collection (CMDC), alors hébergée au Redeemer University College. Je me souviens combien il était vivifiant de rencontrer des personnes qui instruisaient leurs enfants de la même manière que moi et de pouvoir poser des questions sur l’application pratique de la méthode. Au fil des ans, je me suis sentie de plus en plus à l’aise avec la narration, l’étude d’œuvres d’art, l’histoire naturelle et les autres aspects d’une éducation Charlotte Mason. Mais certains domaines, comme l’appréciation musicale, m’ont toujours donné l’impression qu’il nous manquait quelque chose, d’une part parce que je ne voyais pas ce qu’y avait à en retirer et d’autre part parce que mes recherches dans la CMDC génèraient plus de questions que de réponses. Tous les programmes que je consultais faisaient référence à « Notre travail » dans la Parents’ Review. Malheureusement, le dernier volume de la Parents’ Review disponible et scanné date de 1906, et les premiers programmes consécutifs [dans la CMDC] commencent en 1921. Que contenaient ces articles de la Parents’ Review ? En examinant les anciennes questions d’examen, il est évident qu’ils devaient faire plus que lire une biographie et écouter de la musique.

Mon ainé est en Form 4 cette année***. La quantité de ressources disponibles pour informer et mener à bien une éducation Charlotte Mason aujourd’hui, par rapport à l’époque où j’ai découvert Miss Mason, est stupéfiante. C’est une période passionnante et je suis curieuse de savoir à quoi devraient ressembler les cahiers de solfège, de géographie, de dessin au pinceau, d’appréciation musicale et de nature, mais la réalité est que je manque de temps avec ma fille aînée. De façon réaliste, je n’ai pas le temps de mettre en œuvre toutes ces idées nouvellement découvertes avec elle. Cependant, le fait d’être dans la situation unique d’avoir un écart de six ans entre mes deux aînés et mes deux plus jeunes enfants me donne une motivation et un désir accrus de continuer à en apprendre davantage sur une éducation Charlotte Mason authentique et de la mettre en œuvre du mieux que je peux. Je suis capable de regarder en arrière et de me demander ce que je ferais différemment la prochaine fois. Par conséquent, lorsque l’on m’a offert l’opportunité d’en savoir plus sur ce que représentait l’appréciation musicale dans le cadre du PNEU, j’ai été ravie d’en profiter.

Il y a tellement de questions. Quelles compositions musicales ont-ils étudiées ? Combien de fois ont-ils écouté chacune d’entre elles ? Ont-ils lu des biographies sur les compositeurs ? Qu’y avait-il dans les sections « Notre travail » de la Parents’ Review ? Comment étaient-ils capables de répondre à des questions d’examen telles que celle-ci, tirée du Programme 90 :

« Ecrivez trois lignes sur un des cinq sujets suivants : J. C. Bach, la forme sonate, « Les Noces de Figaro », rondo, « Nannerl », symphonie en sol mineur, archevêque de Salzbourg. » (PNEU, 1921)

Quels compositeurs ont-ils choisi et l’un d’entre eux aurait-il été considéré comme « moderne » à leur époque ? À quoi devait ressembler une leçon d’appréciation musicale ? C’est avec impatience que j’ai commencé mon voyage en suivant la piste des articles de la Parents’ Review.

Un autre type de formation musicale

L’exploration de l’appréciation musicale a commencé lorsque Charlotte Mason a rencontré le « bébé musical » de Mme (Ella) Howard Glover lors d’une visite à Londres en 1895. Elle fut si impressionnée qu’elle convainquit Mme Glover d’écrire un article sur ses idées concernant l’appréciation musicale (Franklin, 1923a, p. 33). Cet article, paru dans la Parents’ Review de l’année suivante sous le titre « A Musical Baby », relate son expérience avec son jeune fils, au cours de laquelle il s’est montré capable d’écouter et de reconnaître la musique sans qu’on lui ait appris à jouer d’un instrument.

Dans le paragraphe d’introduction de son article sur son « bébé musical », Mme Glover mentionne le manque d’attention accordée à l’entraînement de l’oreille, surtout si on le compare à l’importance accordée à l’entraînement de l’œil. Son article se concentre sur ses observations personnelles de son propre enfant et sur les conclusions qu’elle tire de cette expérience. Étant donné l’importance accordée à l’éducation des enfants à l’époque, il lui semblait étrange « qu’on ait accordé si peu d’attention au développement précoce du sens musical. » (E. Glover, 1895, p. 760). Elle espérait que l’intérêt serait éveillé dans ce domaine.

Elle raconte ensuite comment son fils de trois ans apprit à reconnaître et à chanter de la musique familière, à nommer le compositeur des pièces qu’il connaissait, à distinguer les partitions de pièces spécifiques et même à reconnaître le style d’un compositeur après qu’on lui ait fait écouter quotidiennement la meilleure musique. Bien que cela semble tout à fait remarquable, Mme Glover a affirmé avoir écrit cet article « simplement pour montrer tout ce que l’on peut faire avec des capacités moyennes, si l’on crée une atmosphère musicale intelligente dès le plus jeune âge, c’est-à-dire dès la naissance. » (p. 760)

Mme Glover a montré que jouer d’un instrument n’était pas une condition préalable pour apprécier la musique, et il semble que cette idée d’écouter la musique avec compréhension soit née chez elle :

« De nombreuses personnes ne sont pas capables de jouer d’un instrument, mais si on les aidait à comprendre la musique, elles pourraient en tirer un grand plaisir. Mme Glover a été la première à avoir l’idée d’aider les enfants à écouter la musique avec compréhension. » (E. Glover, 1922, p. 506)

Les débuts de l’appréciation musicale au sein du PNEU

Six ans après la publication de son article « Musical Baby », Mme Glover a donné une présentation lors de la conférence annuelle de 1902 du PNEU. L’article s’intitule « Our Relations With Music and Art » et reflète explicitement son rôle et son expérience de mère :

« Je vous parle, non pas du point de vue de l’enseignante, mais du point de vue du parent qui vise à faire du foyer un centre de culture, dans lequel une première connaissance des arts sera formée, une connaissance destinée à devenir avec les années une intimité étroite, colorant et ennoblissant toute la vie. » (E. Glover, 1902, p. 576)

Elle souligna l’importance de développer un goût pour ce qu’il y a de mieux en musique :

« L’atmosphère d’un foyer et la personnalité des gens avec qui nous vivons ont beaucoup plus d’influence sur nos goûts que l’hérédité.

« Nous nous éveillons chaque jour à la nécessité de cultiver l’amour de la nature chez nos enfants, mais nous ne reconnaissons pas qu’il est tout aussi important d’encourager l’amour de l’art, bien que la musique et les tableaux exercent sur un petit enfant un attrait tout aussi fort que la nature. Je ne peux m’empêcher de penser que, par cette négligence, nous perdons un complément très précieux à l’éducation. » (pp. 576-577)

Dans son article, Mme Glover décrit un environnement musical pour l’enfant qui doit commencer dès la petite enfance. Pour les enfants âgés de 7 à 12 ans, elle recommande que les concerts soient un plaisir occasionnel. Le parent ou l’enseignant doit s’assurer que l’enfant est familier avec au moins une partie de ce qui sera joué et doit consulter le programme à l’avance afin d’aider l’enfant à « se familiariser avec les principaux sujets de la symphonie ou du concerto, de sorte qu’il puisse comprendre le « déroulement » dans une certaine mesure. » (p. 581). Les enfants de 12 ans et plus pourraient apprécier d’assister plus régulièrement à de bons concerts.

Bien qu’elle soit favorable à l’idée de commencer l’enseignement de la musique par l’apprentissage du piano, elle déplore qu’il n’y ait pas plus d’occasions de jouer de la musique d’ensemble, car les enfants d’une famille ont tendance à jouer tous du même instrument. Au lieu de les laisser tous continuer à jouer du piano et du violon, elle recommandait de persuader « un ou deux membres de la famille de se mettre à l’alto, au violoncelle, à la clarinette ou à d’autres instruments, dont on a tant besoin pour la musique de chambre et les orchestres amateurs. » (p. 581)

Elle pensait que la meilleure musique devait être jouée même aux plus jeunes enfants :

« Ne vous imaginez pas que vous devez vous abaisser au niveau de votre petit enfant ; comme pour tout le reste, donnez-lui ce qu’il y a de mieux dès le début, même si vous faites bien de choisir des compositions simples et mélodieuses avec des rythmes bien marqués. Donnez à votre répertoire un large éventail, comprenant des opéras et des oratorios, ainsi que des compositions spécialement écrites pour le piano. » (p. 579)

Dans son dernier paragraphe, elle appelle à offrir le meilleur à nos enfants :

« Nous sommes tous capables d’apprécier la beauté selon qu’elle fait appel à l’ouïe ou à la vue, et le fait que nous aimions ce qu’il y a de mieux ou que nous nous contentions de ce qu’il y a de moins bien dépendra beaucoup des formes ou des types de beauté qui ont été présentés à notre intelligence en éveil. » (p. 586)

Ensuite, Mme Franklin répondit à certains commentaires en disant avec nostalgie :

« … si seulement nous pouvions trouver le moyen de réaliser le programme que nous propose Mme Glover, nous pourrions développer chez nos enfants plus de joie dans la musique et l’art que ce qui est habituel chez le public britannique… » (p. 588)

Comme en réponse au souhait de Mme Franklin, l’appréciation musicale a été officiellement adoptée par le PNEU dans les trois ans qui ont suivi la conférence, et Mme Glover a commencé à écrire des programmes musicaux que les parents pouvaient utiliser à la maison avec leurs enfants : 

« Charlotte Mason soutenait que l’enfant devait être mis en contact avec autant d’intérêts que possible – « L’éducation est la science des relations » – et la musique en faisait partie.»

Dans sa Parents’ Review School, une leçon de chant était toujours prévue, mais en janvier 1905, il y eut un grand pas en avant et nous lisons la note suivante de Mme Howard-Glover sous la rubrique « Notre travail » :

« « Afin de compléter le schéma d’éducation musicale déjà exposé dans le programme de la Parents’ Review School, il est proposé de publier trimestriellement dans ce magazine une liste de six œuvres avec lesquelles l’élève doit non seulement faire connaissance mais devenir familier pendant le trimestre… » » (Hugman, 1952, p. 134).

Les programmes de musique de Mme Glover

Charlotte Mason a fortement encouragé Mme Glover à écrire des programmes « de musique à écouter et à comprendre » (Franklin, 1923a, p. 33). Bien que Mme Glover ait pu douter de sa capacité à les fournir, elle a été persuadée de lancer le PNEU sur l’appréciation musicale, et a finalement gagné la « gratitude… pour le précieux travail éducatif qu’elle a accompli » (PNEU, 1911, p. 950). Son succès dans cet effort était sans doute dû, au moins en partie, à la confiance que Mlle Mason avait en elle :

« Miss Mason avait le don merveilleux de révéler aux parents, à l’élève, au professeur et à l’enfant leurs propres pouvoirs innés et de les aider à les utiliser au maximum. Elle avait confiance en nous et nous n’avons pas osé la décevoir. » (Franklin, 1923a, p. 33)

Après avoir fourni cette première liste de sélections musicales pour le trimestre de janvier 1905, Mme Glover a continué à écrire les programmes musicaux du PNEU pendant les sept années suivantes. Elle commença son premier programme de musique (également le premier programme de musique du PNEU) par le texte suivant :

« Afin de compléter le programme d’éducation musicale déjà établi dans le syllabus de la Parents’ Review School, il est proposé de publier trimestriellement dans ce magazine une liste de six œuvres avec lesquelles l’élève doit non seulement faire connaissance, mais devenir familier, pendant le trimestre.

« L’exécution de la musique et la pratique de la technique de cet art ne sont qu’un aspect de la formation musicale. Il est également nécessaire de former l’oreille à la compréhension des classiques, afin que l’enfant puisse entrer dans le patrimoine que le génie lui a légué ; afin aussi qu’il comprenne et aime la littérature musicale, de la même manière que nous essayons de lui faire apprécier tous les grands chefs-d’œuvre des écrivains et des peintres.

« Dans ce but, il est suggéré qu’au cours des trois prochains mois, l’enseignant, le parent ou tout ami disponible, joue les compositions suivantes aux enfants, en commençant par un seul mouvement si nécessaire, et en élargissant progressivement le répertoire, jusqu’à ce qu’elles deviennent connues et aimées. Si aucun exécutant n’est disponible, les services d’un pianola**** ne doivent pas être dédaignés, bien que, bien sûr, il doive être considéré comme un second choix. 

« Une demi-heure quotidienne de musique de cette nature éveillera un vif enthousiasme musical chez les enfants, même chez ceux qui n’ont montré aucune aptitude dans leurs leçons de musique, et l’idée de la musique sera élevée au-dessus de la corvée des difficultés techniques qui est inséparable de la pratique d’un instrument

« Un professeur intelligent profitera en outre de cette occasion pour donner des indications sur la forme et l’histoire de la musique, telles qu’elles ressortent et sont illustrées dans ce qui est joué. Les morceaux choisis ce mois-ci ne présentent pas de grandes difficultés et peuvent être étudiés et joués par les élèves les plus avancés. » (Glover, 1905, p. 71)

En bas, il y avait une note :

« Tous les enfants du P.R.S. doivent inclure la « Musique » ci-dessus dans le travail du trimestre. – Ed. » (E. Glover, 1905, p. 71)

Les onze premiers programmes de musique comprenaient chacun une liste de six compositions spécifiques (ou des parties sélectionnées d’œuvres plus importantes), ainsi que les informations permettant d’acheter les partitions. Il est important de noter que chaque programme comprenait de la musique de plusieurs compositeurs, ainsi qu’une combinaison de chansons et de musique instrumentale. Parfois, différentes variations de partitions étaient listées sous une sélection. Il n’y avait pas d’autres directives concernant l’utilisation de la demi-heure musicale quotidienne.

Bien qu’il soit possible que d’autres livres aient été assignés dans les programmes scolaires, aucune aide supplémentaire n’était donnée dans la Parents’ Review pour aider l’enseignant à discuter de la forme musicale, et aucune information historique n’était mentionnée dans ces premiers programmes musicaux. Il semble que le plan initial était de publier ces listes tous les trimestres, mais peu de temps après, dans le Programme de musique n°5, ce plan a été révisé pour passer à trois fois par an avant les vacances :

« Afin de compléter le programme d’éducation musicale déjà établi dans le syllabus de la Parents’ Review School, il est proposé de publier dans ce magazine, avant les vacances, trois fois par an, une liste de six morceaux avec lesquels l’élève doit non seulement faire connaissance, mais devenir familier, pendant le trimestre. » (E. Glover, 1906, p. 310)

Apparemment, tous les parents n’étaient pas équipés pour jouer les morceaux de musique à leurs enfants, car le paragraphe suivant a été inclus pour la première fois dans l’introduction du programme musical n°7 en 1906 et a été maintenu jusqu’au dernier programme musical de Mme Glover :

« Pour de nombreuses familles,  il n’est pas facile d’exécuter ce programme à la maison. Un désir a été exprimé qu’un pianiste soit engagé pour jouer les morceaux une fois par semaine aux enfants de Londres, la dépense étant ainsi partagée par plusieurs familles. Les parents qui désirent collaborer à ce projet peuvent-ils communiquer avec Mme Lock… ? » (E. Glover, 1906, pp. 953-954)

Aucun thème particulier n’a été mentionné pour expliquer le choix des compositions des différents compositeurs énumérés dans chacun des onze premiers programmes. Certains compositeurs sont apparus plusieurs fois alors que d’autres n’ont fait qu’une seule apparition (Dr. Arne, Gounod, Graun, Handel, Haydn, Humperdinck, Edward MacDowell, Moszkowski, Rachmaninov, Rubinstein, Sinding, Emil Sjogren et Weber). Beethoven est celui qui apparaît le plus souvent avec six occurrences. Brahms, Schubert et Schumann suivent avec cinq occurrences. Puis Bach, Chopin, Mendelssohn et Wagner apparaissent quatre fois, tandis que Liszt et Mozart apparaissent chacun trois fois. Grieg, Scarlatti et Tchaïkovski n’apparaissent que deux fois.

Le rapport annuel du PNEU de 1906 et les suivants, disponibles dans la CMDC, comprennent la plupart des programmes musicaux. Les onze premiers programmes de Mme Glover sont accessibles dans la CMDC.

Un regard vers l’avenir

Au fil du temps, les programmes musicaux ont subi quelques changements et améliorations. Cependant, malgré les diverses influences, les éléments qui ont incité Charlotte Mason à intégrer l’appréciation musicale à l’école de la Parents’ Union sont restés intacts. Le changement le plus important a sans doute été la modification du format, de sorte que chaque programme musical ne présente qu’un seul compositeur. J’expliquerai ces changements et d’autres dans mon prochain article, lorsque nous poursuivrons notre voyage à travers l’appréciation musicale au PNEU. A suivre !

Références

  • Franklin, H. (1923a). C.M.M. the friend. In memoriam Charlotte M. Mason. (pp. 31-33). London: Parents’ National Educational Union.
  • Glover, E. (1895). A musical baby. The Parents’ Review, volume 6 (pp. 760-763). London: Parents’ National Educational Union.
  • Glover, E. (1902). Our relations with music and art. In The Parents’ Review, volume 13 (pp. 575-589). London: Parents’ National Educational Union.
  • Glover, E. (1905). Our work. The Parents’ Review, volume 16 (p. 71). London: Parents’ National Educational Union.
  • Glover, E. (1906). Our work. The Parents’ Review, volume 17 (p. 310). London: Parents’ National Educational Union.
  • Glover, E. (1906). Our work. The Parents’ Review, volume 17 (p. 953-954). London: Parents’ National Educational Union.
  • Glover, E. (1922). The Parents’ Review, volume 33 (p. 506-512). London: Parents’ National Educational Union.
  • Hugman, K. (1952). Our music appreciation. The Parents’ Review, volume 63 (p. 134-135). London: Parents’ National Educational Union.
  • PNEU. (1911). Our work. The Parents’ Review, volume 22 (p. 949-951). London: Parents’ National Educational Union.
  • PNEU. (1921). Examination 90: Forms IV & III. London: Parents’ National Education Union.

Notes de la traductrice : 

*For the Children’s Sake est un livre écrit par Susan Schaeffer Macaulay en 1984, auteure suisse ayant vécu plusieurs années en Angleterre. Ce livre est à l’origine de la renaissance de la pédagogie Mason dans le milieu anglophone.

** Charlotte Mason Institute, une organisation américaine promouvant la pédagogie de Charlotte Mason.

*** La Form 4 équivaut à la Troisième dans le système éducatif français (soit 14-15 ans).

**** Piano mécanique automatique ou semi-automatique qui, par un système pneumatique, reproduit de la musique à partir de rouleaux en papier ou en carton perforé.

Version française de l’article publié par Charlotte Mason Poetry avec leur autorisation. (Traduction ©2022 Maeva Dauplay. Relecture : Sylvie Dugauquier)

Ecouter le podcast